Jeudi 27 juin, 130 affiches ont été placardées dans le métro parisien. On y voit un petit porcelet, balluchon sur l’épaule, quittant la France pour échapper à la castration sans anesthésie. Chatelet, République, Gare de Lyon… Toutes les grandes stations ont été couvertes, afin de sensibiliser le plus grand nombre de franciliens à cette pratique barbare et pourtant méconnue. L’objectif est toujours le même : obtenir l’interdiction de cette mutilation réalisée sans anesthésie sur 10 millions de cochons en France.
Outre l’affichage, cette première semaine d’actions a été marquée par plusieurs événements :
- notre pétition a dépassé les 150 000 signatures. Un chiffre important, que vous pouvez encore alimenter si vous ne l’avez pas déjà fait sur stopcastration.fr ;
- plusieurs parlementaires se sont engagés publiquement contre cette mutilation. Retrouvez la liste complète sur stopcastration.fr ;
- en réaction à notre campagne, un certain nombre de professionnels nous ont contactés pour échanger sur les alternatives à la castration sans anesthésie des porcelets.
Welfarm au bureau de la protection animale
Mercredi 3 juillet, nous avons été reçus par le Bureau de la protection animale, une administration du ministère de l’Agriculture, pour aborder spécifiquement le sujet de la castration des cochons. Mais, malgré l’absence de blocages techniques ou économiques, l’interdiction de la castration à vif des porcelets ne semble pas à l’ordre du jour au ministère…
Et c’est pour cette raison que WELFARM reste plus que jamais mobilisée : plusieurs actions militantes sont prévues dans différentes régions cet été. Notre campagne se poursuivra tant que cette interdiction ne sera pas effective.
Vous pouvez nous aider !
- Signez notre pétition sur stopcastration.fr
- Interpellez le Gouvernement sur Twitter avec le #StopCastration.
- Relayez nos publications sur les réseaux sociaux ou par mail.
- Commandez notre kit militant à benevoles@welfarm.fr