Depuis le mois de juin, plusieurs parlementaires ont posé des questions écrites à Didier Guillaume, le ministre de l’Agriculture, pour lui demander de mettre fin à la castration à vif des porcelets. Comme nous vous l’avions démontré, sa réponse a été loin de nous apporter satisfaction. Bien au contraire !
La castration à vif est une source de souffrance immense pour 10 millions de porcelets mâles chaque année en France. Nous ne pouvions en rester là, d’autant que des alternatives fiables existent. C’est pourquoi, forts du soutien des 168 000 signataires de la pétition contre la castration à vif, nous adressons ce lundi 16 septembre un courrier à Didier Guillaume réclamant officiellement un projet de loi visant à interdire cette mutilation.
De nombreux pays européens ont déjà voté une mesure similaire : il est donc grand temps que la France suive le mouvement.