Vos 5 pouvoirs pour agir en faveur de la cause animale pendant le confinement

Que l’on soit en télétravail ou non, on pourrait penser, à tort, que l’on ne peut plus agir pour la cause animale. Il est vrai qu’il peut paraître compliqué de sensibiliser ou d’agir sans action concrète de terrain. Néanmoins, malgré le confinement, il existe de nombreux moyens de continuer à soutenir, de chez soi, la cause animale, tout en respectant l’état d’urgence sanitaire

1. Je mange donc je suis … consom’acteur 

Être consom’acteur est un acte engagé et militant : nous mangeons trois fois par jour, nous avons donc le pouvoir, trois fois par jour, de renoncer à la maltraitance animale ! Malheureusement, il n’est pas toujours aisé de savoir dans quelles conditions les animaux ont été élevés, malgré la multitude de labels, appellations et autres logos. Devant ce manque de transparence, Welfarm a édité un petit guide de consom’action, afin de d’identifier en rayon les produits plus respectueux des animaux . Téléchargez-le gratuitement via ce lien ou écrivez à l’adresse benevoles@welfarm.fr pour le recevoir dans votre boite aux lettres. N’hésitez pas à inviter vos proches à en prendre connaissance et à le distribuer autour de vous !

Les fêtes de fin d’année approchent… Utilisez votre pouvoir de consom’acteur en refusant d’acheter et de consommer foie gras, magret, chapon et poularde de Bresse : ces produits sont par définition issus de pratiques fortement préjudiciables pour le bien-être des animaux (gavage, chaponnage ou utilisation de cages). 

2 Je suis citoyen… j’exige plus de bien-être animal dans les cantines de ma ville

En France, la majorité des animaux sont élevés dans des conditions intensives. La viande, les œufs, le lait qu’ils produisent sont proposés au menu de la plupart des cantines publiques. Vous avez des enfants qui fréquentent la cantine scolaire et vous souhaitez qu’il lui soit proposé des menus plus éthiques ? Ou tout simplement, vous estimez que votre commune ne devrait pas s’approvisionner auprès d’élevages intensifs

Vous avez raison ! Il est urgent que les maires prennent, eux aussi, des engagements pour rendre les cantines de leurs villes plus respectueuses des animaux !

En cliquant ici, contactez le maire ou l’élu en charge de la restauration scolaire de votre commune et demandez-lui que la municipalité s’engage à bannir l’élevage intensif des cantines publiques.

Besoin d’un coup de main dans cette démarche ? Notre équipe est là pour vous : inscrivez-vous ici, nous vous recontacterons au plus vite pour vous aider à engager des discussions avec votre mairie.

3. Je suis connecté(é)… Je peux partager !

Nous vous invitons à profiter du temps que vous passez sur vos réseaux sociaux pour partager nos pétitions sur vos murs, profils, pages perso, groupes de discussion…

Vous retrouverez l’ensemble de nos pétitions en cliquant ici !

Et si vous souhaitez aller plus loin, n’hésitez pas à visionner les nombreuses vidéos de la chaîne YouTube de Welfarm, et à les partager sur vos réseaux sociaux pour sensibiliser le plus grand nombre. 

 

4. Je suis confiné(e)… Je voyage par la pensée ! 

La vie en confinement ne se résume pas qu’à Internet, les réseaux sociaux et autres écrans. Un moment idéal pour lire et découvrir de belles images d’animaux sur papier. Pour cela, nous vous recommandons une petite sélection de livres à lire pour se sensibiliser à la cause animale et pour s’émerveiller des capacités de ces êtres vivants :

Le secret de lintelligence animale

Les secrets de l’intelligence animale de Yolaine La Bigne

Ce livre réunit des spécialistes de l’intelligence animale : océanographe biologiste, ancien directeur de recherche en éthologie au CNRS, primatologue, maître de conférences, arachnologue, vétérinaire et comportementaliste s’associent pour expliquer l’intelligence animale, l’adaptabilité des animaux, leur empathie. Du requin au chat en passant par les araignées ou les singes, un bel ouvrage pour comprendre un peu mieux les animaux.

Ces bêtes que lon abat

 Ces bêtes qu’on abat de Jean-Luc Daub

Enquêteur dans les abattoirs pendant des années, Jean-Luc Daub relate très précisément ce qu’il advient des animaux avant leur mise à mort. Certes, la lecture n’est pas facile, mais par ses mots, l’auteur dénonce le constat du manque de respect de la réglementation et de la passivité des autorités devant des actes intolérables. 

Nota bene : Jean-Luc Daub a ouvert un petit refuge en Alsace où il accueille des animaux.

Carnet Sauvage

Carnet Sauvage de Adrien FAVRE. 

Photographe animalier, il parcourt le monde et a réalisé ce magnifique livre après trois ans de travail. Un instant de contemplation du monde sauvage qui nous entoure complété par des textes engagés, des anecdotes du photographe et de ses aspirations.

 

5. Je suis acteur du monde qui m’entoure… Je m’engage !

Vous êtes sensible à la cause animale, vous aimeriez voir la société évoluer dans son rapport à l’animal et participer à une prise de conscience d’ampleur ?  Si vous souhaitez devenir acteur du changement, alors rejoignez-nous et devenez bénévole pour Welfarm ! 

C’est avec plaisir que nous vous accueillerons au sein de notre réseau de bénévoles dynamiques. Évidemment, les événements au contact du public ne pourront avoir lieu qu’à partir de la fin de l’épidémie. Néanmoins, si vous souhaitez d’ores et déjà connaître l’étendue des missions d’un.e welfarmeur.se bénévole, vous pouvez consulter cette page, rejoindre notre groupe de bénévoles sur Facebook et/ou nous envoyer un mail à benevoles@welfarm.fr pour en savoir plus. Malgré la crise sanitaire, nous gardons le lien avec nos forces vives du terrain et proposons des actions digitales au quotidien pour continuer à agir pour les animaux ! 

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